La technologie est l’étude des outils et des techniques.
La technologie est l’étude des outils et des techniques. Par extension et abusivement, le mot désigne les systèmes ou méthodes d’organisation qui permettent les diverses technologies, ainsi que tous les domaines d’étude et les produits qui en résultent. Voici l’approche de Wikipédia l’encyclopédie libre.
C’est semble-t-il un professeur de Harvard, Jacob Bigelow, qui aurait pour la première fois systématisé l’usage du mot technology en anglais dans son ouvrage Elements of technology (1829). Botaniste et professeur à la chaire Rumford de Harvard consacrée à « l’application de la science aux arts utiles » (useful arts). Appelant à une véritable « fusion » entre les arts et la science, il réfute les savoirs fondamentaux qui ne s’articulent pas avec une pratique concrète et parallèlement les techniques (les arts dans les mots de l’époque) qui s’inscrivent dans une tradition sans le recours systématique au savoir scientifique.
En appelant à une sectorialisation accrue des savoirs scientifiques et une répartition scientifique des tâches dans le domaine du travail, il va fournir à la société capitaliste américaine bientôt en expansion un véritable modèle d’éducation.
C’est d’ailleurs sur les recommandations du professeur de Harvard que le MIT (Massachusetts Institute of Technology) empruntera son nom, en lieu du « School of Industrial Science » comme originellement prévu dans le projet du fondateur, mais aussi, de nombreuses orientations pédagogiques qui en feront un des centres de recherches « technologiques » les plus performants au monde dans le domaine de la communication, de l’informatique et aujourd’hui de la robotique et de l’intelligence artificielle.
La technologie a connu une évolution exponentielle au cours des dernières décennies, apportant des changements significatifs dans notre vie quotidienne, notre façon de travailler et d’interagir avec le monde. Les avancées technologiques ont permis de créer de nouveaux produits et services qui ont révolutionné notre mode de vie.
L’un des domaines les plus impactés par la technologie est celui de la communication. Grâce à l’avènement de l’Internet et des smartphones, nous pouvons communiquer avec des personnes du monde entier en quelques secondes seulement. Les réseaux sociaux ont également bouleversé notre manière de communiquer et de nous connecter les uns aux autres.
La technologie a également amélioré nos méthodes de travail. Les outils de collaboration en ligne et les plateformes de travail à distance ont permis à des équipes de travailler ensemble en temps réel, peu importe où elles se trouvent dans le monde. Les robots et l’intelligence artificielle ont également été introduits dans certains secteurs industriels, réduisant ainsi le besoin de main-d’œuvre humaine et augmentant la productivité.
La santé est un autre domaine qui a bénéficié des avancées technologiques. Les équipements médicaux de pointe et les logiciels de diagnostic ont permis de détecter plus rapidement les maladies et de traiter les patients de manière plus efficace. La télé-médecine permet également aux patients de consulter des professionnels de la santé sans quitter leur domicile.
Le concept de technologie
Le concept de technologie se réfère à l’ensemble des outils, des méthodes, des procédés et des connaissances utilisés pour résoudre des problèmes, produire des biens et des services, et améliorer la qualité de vie de l’humanité. La technologie peut être physique ou numérique et peut inclure des objets matériels tels que des machines, des outils, des équipements, ainsi que des systèmes logiciels, des applications et des plateformes en ligne.
La technologie peut être considérée comme un processus dynamique et évolutif, qui implique une recherche constante de nouvelles solutions et de nouveaux développements. Elle peut être utilisée dans de nombreux domaines, tels que la médecine, l’industrie, les transports, les communications, l’énergie et l’environnement.
Technologie et innovation
La technologie est souvent associée à l’innovation, qui peut conduire à des changements radicaux dans la façon dont nous vivons et travaillons. Elle peut également avoir des conséquences sociales, économiques et environnementales, qui doivent être examinées et prises en compte.
Ainsi, la technologie peut être considérée comme une composante clé de l’innovation, mais l’innovation ne se limite pas à la technologie. L’innovation peut également impliquer de nouvelles méthodes de travail, de nouvelles approches de gestion, de nouveaux modèles d’affaires, etc.
En résumé, la technologie et l’innovation sont deux concepts différents, mais ils sont souvent utilisés ensemble pour créer de nouveaux produits, services et solutions qui peuvent améliorer notre vie quotidienne et résoudre des problèmes complexes.
Bienvenue dans un monde digital et ou numérique
La technologie digitale est un élément central de la vie moderne, qui a changé la façon dont nous vivons et travaillons. Elle continue d’évoluer rapidement, offrant de nouvelles opportunités et de nouveaux défis pour l’avenir.
Logiciel libre et logiciel propriétaire
La différence entre un logiciel libre et un logiciel propriétaire réside dans les droits accordés aux utilisateurs pour accéder, modifier et distribuer le code source du logiciel.
Un logiciel propriétaire est un logiciel dont le code source est protégé par des droits d’auteur, ce qui signifie que l’utilisateur n’a pas le droit de le copier, le modifier ou le distribuer sans autorisation. Les utilisateurs doivent souvent payer une licence pour utiliser le logiciel, et le fournisseur du logiciel peut limiter les fonctionnalités disponibles.
En revanche, un logiciel libre est un logiciel dont le code source est librement accessible, modifiable et distribuable par les utilisateurs. Les utilisateurs peuvent modifier le code source pour répondre à leurs besoins, ou même distribuer des copies du logiciel à d’autres personnes. Les licences de logiciel libre, telles que la licence GNU GPL, garantissent que le code source reste disponible pour tous, même après des modifications.
En somme, la principale différence entre un logiciel libre et un logiciel propriétaire réside dans les droits accordés aux utilisateurs pour accéder, modifier et distribuer le code source du logiciel.
Quelques points de réflexion
Voici quelques points de réflexion pour se comprendre et s’orienter sur cette technologie la plus utilisée dans la production, la vente et dans le rapport client/utilisateur. Tout d’abord nous vous invitons à comprendre la philosophie du logiciel libre et ensuite a avoir une approche “Open Source” ou code source ouvert pour vos logiciels. Ils s’agit des logiciels très performants et « gratuits » qu’on a la possibilité de faire évoluer soi-même et de paramétrer selon son besoin. Ce code source est généralement le résultat d’une collaboration entre programmeurs donc très bien élaboré et tester à une échelle mondiale. Il faut éviter les solutions propriétaires car il y a les coûts de la licence et des mises à jour qui sont difficiles à modifier (solutions fermées) pour s’adapter à l’évolution de votre entreprise, coopérative ou association! Il faut savoir que dans de nombreux programmes propriétaires seraient présent des « backdoors » porte dérobée. La porte dérobée fonctionne en arrière-plan et n’apparait pas dans les logiciels en cours d’utilisation. Il est très similaire à d’autres virus et logiciels malveillants, il est donc difficile à détecter et il a fonction de récupérer vos informations.
Backdoors
Une backdoor (ou porte dérobée en français) est une méthode secrète d’accès à un système informatique qui permet à un utilisateur non autorisé de contourner les mesures de sécurité normales et d’accéder aux données ou aux fonctionnalités du système.
Les backdoors sont une préoccupation majeure pour les utilisateurs de logiciels propriétaires, car ils ne peuvent pas accéder au code source des logiciels qu’ils utilisent. Les fabricants de logiciels propriétaires peuvent inclure des backdoors pour diverses raisons, comme faciliter le dépannage ou la maintenance du système, permettre aux administrateurs système d’accéder à distance aux systèmes, ou pour des raisons malveillantes telles que l’espionnage ou la surveillance.
Comme les utilisateurs de logiciels propriétaires n’ont pas accès au code source, il est difficile de déterminer si un logiciel contient des backdoors. Les entreprises et les organisations qui utilisent des logiciels propriétaires doivent donc avoir confiance en leurs fournisseurs de logiciels et leur capacité à sécuriser leurs produits.
En revanche, les logiciels libres et open source offrent une transparence totale en permettant aux utilisateurs d’examiner le code source du logiciel et de le modifier librement. Cela signifie que les utilisateurs peuvent vérifier si le logiciel contient des backdoors ou des failles de sécurité, et peuvent également contribuer à la correction des problèmes s’ils en trouvent.
Pour prévenir les backdoors, il est important de mettre en place des politiques de sécurité strictes, de limiter l’accès aux systèmes et aux données sensibles, et de surveiller activement les activités suspectes. Les entreprises et les organisations peuvent également utiliser des logiciels de détection de backdoors pour rechercher des failles de sécurité dans leurs systèmes et réagir rapidement en cas de détection d’une activité suspecte.
Faire le point sur vos besoins en interne
Quels services devez-vous couvrir avec ce logiciel ? Quels sont vos besoins métiers ? Quelles sont les fonctionnalités dont vous avez vraiment besoin et celles qui sont optionnelles ? Quel est son rôle dans l’architecture de votre SI ?
Quelque exemple : Choisir un CMS en Open Source (système de gestion de contenu) est une famille de logiciels destinés à la conception et à la mise à jour dynamique de sites Web ou d’applications multimédia. Une ERP, solutions Open Source il s’agit d’un logiciel de gestion assigné à l’ensemble de la gestion des processus opérationnels d’une entreprise. Une suite bureautique Open Source comporte généralement un traitement de texte, un tableur, un logiciel de présentation, un outil de dessin. Il peut également y avoir un programme de manipulation de données, un lecteur de courrier électronique, un calendrier et un carnet d’adresses. Le tout est distribué ensemble comme étant un seul produit. Vous trouverez ici une liste de logiciels libres qui vous permettra de comprendre l’étendu de la communauté du « logiciel libre » .
Or dans ces mondes technologiques il faut savoir s’orienter et comprendre ses besoins pour éviter d’être par exemple : sous-équipé et ensuite découvrir que les infrastructures choisis sont insuffisantes ou d’être suréquiper et d’avoir dépenser son argent inutilement !
Les coûts d’utilisation des logiciels
Le coût d’utilisation des logiciels peut varier considérablement selon le type de logiciel et l’entreprise utilisatrice. Voici quelques facteurs qui peuvent influencer les coûts :
Type de logiciel : les logiciels propriétaires sont souvent plus coûteux que les logiciels libres ou open source, car ils nécessitent souvent l’achat de licences d’utilisation. Les logiciels propriétaires peuvent également comporter des coûts cachés, tels que des frais de maintenance ou de mises à jour.
Nombre d’utilisateurs : les entreprises qui ont besoin de licences pour un grand nombre d’utilisateurs peuvent être confrontées à des coûts plus élevés. Les entreprises doivent également tenir compte du coût des licences supplémentaires pour les nouveaux employés ou les changements de personnel.
Fonctionnalités : certaines fonctionnalités avancées des logiciels peuvent être associées à des coûts supplémentaires. Les entreprises doivent évaluer soigneusement leurs besoins pour déterminer si ces fonctionnalités valent le coût supplémentaire.
Support technique : les entreprises peuvent avoir besoin de services de support technique pour les aider à résoudre les problèmes ou à installer et à configurer les logiciels. Ces services peuvent comporter des frais supplémentaires.
Hébergement : certains logiciels nécessitent une infrastructure de serveur pour les exécuter. Les entreprises peuvent choisir de les héberger elles-mêmes ou d’utiliser des services de cloud computing, qui peuvent avoir des coûts supplémentaires.