Apprendre à créer et à inventer.
Repartir de l’art, de la musique et de la poésie, pour apprendre à créer et à inventer.
Le mot « apprendre » désigne le processus d’acquisition de connaissances, de compétences et de comportements, qui résulte de l’expérience, de l’étude, de l’observation et de la pratique. C’est une activité essentielle pour le développement personnel et professionnel, qui permet de s’adapter aux changements et de progresser dans la vie.
L’apprentissage peut prendre différentes formes, telles que l’enseignement formel, l’auto-apprentissage, l’apprentissage informel, l’apprentissage par l’expérience, ou encore l’apprentissage social. Il peut également se produire à différents niveaux, du plus simple au plus complexe, et dans différents domaines de la connaissance, tels que les sciences, les arts, la culture, la technologie, etc.
L’apprentissage est un processus continu et dynamique, qui peut se dérouler tout au long de la vie. Il est souvent associé à l’idée d’amélioration de soi, de développement de ses compétences et de ses capacités, et de réalisation de ses objectifs personnels et professionnels.
Nous souhaitons nous interroger sur l’importance de ces trois disciplines : l’art, la musique et la poésie dans notre culture et dans l’économie contemporaine.
En effet, un étrange discours circule parmi nos responsables économiques et politiques, qui considérèrent ces disciplines comme inutiles dans le bagage culturel des nos scientifiques, ingénieurs et techniciens.
Et pourtant quand nous analysons la structure de notre économie la plus avancée, nous rencontrons l’art, la musique et la poésie comme sources de création et d’invention.
Nous les rencontrons répandus à l’intérieur de cette économie basée sur la créativité, la communication et la coopération des ressources intellectuelles. Nous les retrouvons dans le design, la mode, la structure des langages de la communication, de la musique, de la créativité technologique. Pourquoi alors cette hostilité à la diffusion de ces disciplines ?!